Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du (...)

Une première baisse pour l'IPPI depuis août 2021

À l’instar des prix à la consommation, qui ont augmenté de 0,7% en juin — faisant passer le taux d’inflation annuel à 8,1% — (...)

Les Affaires s’associe avec le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec en fusionnant nos initiatives respectives pour créer un tout nouveau concours provincial ambitieux: le Défi Croissance Banque Scotia. L’appel aux candidatures est officiellement ouvert jusqu’à la fin de l’été. Nous vous invitons à soumettre votre candidature ou à encourager une jeune pousse à le faire dès maintenant: bit.ly/3aJgOt7

Revue de presse

Amitiés professionnelles 

Parmi vos collègues, lesquels occupent le statut convoité d’amis? Alors que la pandémie et les nombreux confinements ont chamboulé nos rapports avec l’univers du travail — incluant les personnes qui y gravitent — dans quelles mesures ces amitiés sont-elles cruciales pour inciter les membres du personnel à revenir au bureau? Dans l’épisode «Friendship in the workplace : it’s lonely at the top» du balado Working it, le Financial Times s’intéresse aux effets de ces relations privilégiées sur l’environnement de travail… qu’ils soient positifs ou négatifs. 

1,50$US, ce chiffre sacro-saint

Quel repas défie l’inflation et n’a jamais changé de prix depuis ses débuts en 1985? Il s’agit nul autre que le combo soda et hot-dog à 1,50 dollars américains ($US) du magasin grande surface Costco, rapporte le Wall Street Journal. Chaque année, selon le chef des finances de l’entreprise, Richard Galanti, près de 130 millions de combo sont vendus à travers les 833 entrepôts. «Ce prix de 1,50$US est sacro-saint depuis le début. C’est devenu un élément signature pour nous», souligne-t-il. 

Tenir le pouvoir entre ses doigts

Les récentes révélations des Uber Files et l’adoption du Digital Market Act, un règlement qui vise à limiter les pratiques anti-concurrentielles et la domination des géants du numérique sur le marché européen — mais largement influencé par les lobbys du numérique — ramène à l’avant-plan la domination de ceux-ci au sein des institutions européennes… et mondiales. Dans son reportage «D’Uber aux GAFAM : comment les géants de la Tech font-ils la loi?», France Culture tente de décortiquer comment ces derniers sont-ils parvenus à pénétrer le cercle du pouvoir politique, ainsi que les façons d’exiger plus de transparence afin de limiter les dérives. 

Concentrée, travaillante et attentionnée aux détails

«Je ne lis pas les expressions du visage. Je ne reflète pas non plus toujours ce que je ressens. Parfois, mes expressions faciales ne sont pas appropriées ou parfois mes réponses verbales ne sont pas appropriées», partage au Globe and Mail Carrie Chapple, qui a été diagnostiquée avec un trouble du spectre de l’autisme à l’âge adulte. Cette résidente de Victoria, en Colombie-Britannique, a rencontré de nombreux embûches au cours de son parcours professionnel, allant jusqu’à l’incapacité d’avoir un emploi stable. Pourtant, les employeurs gagneraient à ouvrir davantage leur porte à ces travailleuses et travailleurs, rapporte le journal. 

Des salaires inflationnistes 

Un nouveau rapport du principal regroupement syndical des États-Unis, la Fédération américaine du travail – Congrès des organisations industrielles (AFL–CIO), a révélé que les PDG du S&P 500 ont reçu un salaire moyen de 18,3 millions de dollars en 2021, soit une rémunération 324 fois plus importante que celle du travailleur médian, souligne le Fast Compagny. «Ce sont les PDG, et non les travailleurs, qui causent l’inflation, soutient l’AFL–CIO. La rémunération effrénée des PDG est un symptôme de la «greedflation».»